Marketing de la DSI : Prenez vos marques §
Discussion lancée mi décembre 2012 par Christophe Verron sur Re Invent IT
Au 17 janvier : 63 commentaires
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La remarque d'Alain sur la compta [ qui pourrait également faire son marketing] mérite de s'y arrêter.
et si la DRH faisait également son marketing ?
et les frais généraux ?
et le restaurant d'entreprise ?
Pour eux, en ce moment, c'est facile avec le fameux repas de Noël.
Bon, cela dit, je suis consultant indépendant et n'ai pas la joie et la
bonne humeur (un clin d'oeil à Laurent avec son expression fétiche cf la
discussion aux 92 commentaires lancée par Franck, un record dans ce
groupe) d'être abonné à une cantine...
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@Regis,
"apporter de la valeur" ...Je t'invite à la discussion lancée par Franck sur la valeur de la DSI.
Pour revenir au sujet de la discussion, le "Marketing de la DSI" est-il
* un effet de manches,
* une approche intéressante pour la productivité de la DSI,
* un outil qui contribue à l'apport de la valeur de la DSI ?
Mais tout d'abord, qui est visé exactement par ce marketing ?
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@Pierre, [qui présentait en passant une solution de développement de code qui serait nettement plus performante que les solutions classiques]
que diriez-vous de passer sur le Cloud ?
L'avantage est que le marketing est fait par le prestataire et que le service est parfois gratuit...
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@Philippe,
[Vous dites] " En encrant la DSI dans le quotidien de l'entreprise, poussant les
collaborateurs à régulièrement interagir avec leurs utilisateurs afin de
maintenir un dialogue permanent à travers lequel la confiance peut
s'établir"
et si l'on avait ici une idée d'utilisation d'un réseau social numérique d'entreprise ?
Comment ferait-on alors pour calculer le retour sur investissement ?
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@Philippe, [qui invitait à lire sur son blog une billet sur les relations clients fournisseurs en SI]
si je comprends bien, en postant ces "développements supplémentaires"
vous renouez avec le blog que vous aviez initialisé en tant que
prestataire.
En tant que DSI, envisagez-vous de modifier son design ?
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@Pierre,
(un peu off line par rapport au sujet ?)...
sur votre réponse à ma question "si vous passiez sur le Cloud ?":
Si je comprends bien, votre société propose un atelier de génie logiciel
centré utilisateur 4 à 5 fois plus performants ("TCO" divisé par 5,
"Time to market" divisé par 10) que le marché ?
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@Pierre,
"La DSI, ainsi est reconnue comme étant efficace, c'est le meilleur marketing"
donc nous sommes dans le sujet.
Je tends à vous suivre pour le code, ayant moi-même codé en assembleur
pour des raisons de performances (mémoire, temps de cycle,...) et obtenu
des résultats d'un niveau qualité "oustanding" ( nombre de pbs prévus
par l'assurance qualité en "system test" divisé par 10 par rapport aux
gabarits suivis par l'assurance qualité)(cf mon profil, et un peu de pub
pour mon ancien employeur ;-))..
De façon compréhensible, le management a été dubitatif et il a fallu
attendre le" field trial" pour une reconnaissance de la qualité de mon
bout de code et ce, malgré l'autorité de l'assurance qualité du labs
portant le système qualité déployé au niveau corporate et garantissant
les mesures/gabarits.
Vous dites "nos analyses nous permettent de conclure que plus (...) qu'une solution classique".
Les principes/modalités etc. de mesure et la référence ("solution classique") sont-ils disponibles voire publiés ?
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Entre le microprocesseur et l'écran utilisateur, il faut une intelligence.
On peut la cultiver dans les neurones du développeur ou tenter de la mettre dans le code du CASE/AGL.
Dans le premier cas, cela coûte plus en plus cher, dans le second, on capitalise des gigaoctets de lignes de code.
Mais pour l'utilisateur final, combien vaut ce capital (ou son droit d'usage)?
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@Pierre, [qui lance une longue tirade]
"Si déjà l'on commençait à faire simple".
* - "racketter le client en lui vendant une licence et une maintenance récurrente"
* - " comme le code produit est open source et développé sur la base des
specs du client, il en est propriétaire" [quelle gouvernance des SI
open source]
* "faire beaucoup de projets à la place des sociétés de services qui font de l'offshoring " [relocaliser]
* "remplacer les progiciels surdimensionnés" [ou l 'assurance "too big to fail"]
* "inventer un modèle fairplay" [pour partager la valeur créée]
*- un Russe, un Suisse, un Marocain" [des entreprises ayant une
gouvernance SI pour privilégier le "green field" (pas de legacy) ]
* "extreme lourdeur des appels d'offres"
* "extreme lourdeur des normes".
* "petites entreprises competitives [qui] ne repondent pas aux appels d'offres [de l'Etat]"
* "des services specialisés dans les reponses aux appel d'offre et une
armée d'avocat " [augmentant inconsidérément les coûts de transaction]
"avoir un monopole parce qu'il est le seul certifié" [ou plutôt une stratégie d'innovation ? ]
Un vrai défi donc pour faire simple.
merci à vous d'enrichir la question initialement posée avec d'autres perspectives "zéro langue de bois"
(...)tdk
On peut constater que le droit d'auteur est relativement méconnu dans les DSI.
Celui-ci s'applique non seulement aux logiciels mais également aux
référentiels SI publiés sous droit d'auteur, c'est à dire la quasi
totalité des référentiels SI proposés sur le marché.
Pour ces derniers, il faut bien distinguer les utilisateurs finaux d'une
part, des prestataires d'autre part, dont les autorisations nécessaires
à l'utilisation au delà de ce que permet le Code de la propriété
intellectuelle (exceptions aux droits d'auteur) diffèrent : pour les
premiers il faut une licence d'utilisation, pour les seconds une licence
d'exploitation [1].
A la décharge des DSI, il faut reconnaître que la direction juridique
est un peu dans l'état qui était le leur dans les années 80,
c'est-à-dire dans une tour d'ivoire ou bunker, c'est selon.
En revanche pour les prestataires exploitant les référentiels SI, c'est
leur coeur de métier de s'assurer de leurs matières [immatérielles]
premières.
Les choses commencent à bouger et on peut saluer le travail réalisé par
le CIGREF avec le dossier "Gouvernance juridique de l'entreprise
numérique" [2]
[1] Le site gouvernance de la PI en relations d'affaires
http://www.ip2-governance.com
[2] http://www.cigref.fr/gouvernance-juridique-numerique-entreprise-2012
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PS : on peut ouvrir une discussion sur le "marketing de la DJ" ;-0
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@Pierre,
vous avez raison. Le juridique, et surtout la PI, est une matière de
haute technicité qui n'est maîtrisée que par des professionnels
qualifiés (avocats d'affaires, conseils en PI) et le "bon sens" est
parfois un mauvais conseiller : n'entend-on pas que les "idées sont de
libre parcours" ?
Mais d'un point de vue business on peut se poser la question suivante :
entre deux prestataires, quel est celui qui sera choisi, toutes choses égales par ailleurs,
* celui qui propose à son client des accords de propriété intellectuelle équilibrée
ou
* celui qui impose ses conditions prédatrices ? (celui qui construit son
business model sur une duplication systématique de ce qu'il a coproduit
avec un client ?)
Egalement,
* celui qui met en avant l'innovation (les propriétés intellectuelles licitement partagées) de son écosystème
ou
*- celui qui prétend avoir tout inventé avec ses seules ressources ?
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@Pierre,
"ça se règle par contrat" mais cela se vend en présentant cet
arrangement sous la forme de proposition de création de valeur
immatérielle.
D'après votre expérience, comment réagissent les DSI devant cette proposition ?
Vous renvoient-elles vers la direction des achats (cette dernière pouvant alors vous renvoyer vers la direction juridique) ?
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@Philippe,
pour le design de votre blog : pourquoi le perfectionner s'il répond à vos besoins en tant que DSI / professionnel ?
Personnellement, j'utilise Blogger avec la présentation standard.
Pour mes besoins business, les résultats oeuvent être apprécier en Googlant par exemple
entreprise numérique
ou
modèle affaires numériques
ou
gouvernance numérique
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